orné
Messages : 792 Points : 1288 Réputation : 38 Date d'inscription : 17/03/2015 Age : 51 Localisation : Où ça ?
| Sujet: Chercheurs de vérité contre chasseurs de conspirationnistes : la guerre est déclarée Mer 18 Mar - 2:49 | |
| Bonjour, Ici "sur Le Nouveau Monde", vous aurez compris à quel point le gouvernement français entre_autre on décider restreindre la liberté d'expression au nom de la démocratie. De restreindre nos libertés au nom de la sécurité, et surtout pour leur propre protection pour qui sait lire entre les lignes. Pour lancer leur vaste opération, les attentats du 11/2 aura été un bon catalyseur avec tout ce qui s'en suivra. Cameron avait déjà annoncé la couleur à l'ONU dans un discours tonitruant, il y a de ça quelques mois. Obama y avait été lui aussi de déclaration révérencieuse à notre égard. Et bien entendu, c'est la presse qui dorénavant a prit le relais. Dixit l'Express entre-autres. Il y a aussi les lois nouvelles qui censure le net et des tas de mesures anticonstitutionnelles. Voyons tout ça plus en détaille.
Chercheurs de vérité contre chasseurs de conspirationnistes : la guerre est déclarée Bientôt une association « SOS Complotisme » et le badge « Touche pas à ma version officielle » ? Depuis l’attentat de Charlie Hebdo, une mouvance politico-médiatique, alignée sur le tandem Hollande-Valls, a intensifié sa traque aux citoyens doutant de la parole d’État.
Pas de quartiers. Au lendemain des événements du 11 septembre 2001, un conflit de basse intensité traversait la société française : d’un côté, des citoyens connectés à Internet et férus d’informations passées sous silence par la presse traditionnelle de l’Hexagone ; de l’autre, une poignée de personnalités (intellectuels, journalistes, militants politiques…) agacées par cette lame de fond et rassemblées autour de la conceptualisation d’un terme creux qui rentrera finalement dans le Larousse en 2014 :
« Conspirationniste« .
Se dit de quelqu’un qui se persuade et veut persuader autrui que les détenteurs du pouvoir (politique ou autre) pratiquent la conspiration du silence pour cacher des vérités ou contrôler les consciences.
Le premier à avoir tenté d’importer une telle expression(conspiracy theorist) apparue aux États-Unis (dans les années qui ont suivi l’assassinat de Kennedy) fut le journaliste indépendant Guillaume Dasquié, détracteur en chef de Thierry Meyssan.
Son argument : ceux qui doutent de la version officielle, à l’instar de Meyssan, sont fondamentalement stupides et incultes, voire crypto-antisémites.
On apprendra par la suite que Dasquié était, comme plusieurs détenteurs de la carte de presse (Roger Auque en est le dernier exempleR), collaborateur occulte des services secrets français.
Dix ans plus tard, Le Monde s’inquiétera, à son tour, de la montée de ce phénomène – le rejet de plus en plus croissant de la narration politico-médiatique des faits majeurs d’actualité – en relayant les conclusions d’une étude réalisée par un think-tank britannique et financée par le milliardaire américain George Soros.
Extraits croustillants du papier :
Pour la moitié des Français, "ce n'est pas le gouvernement qui gouverne" car "on ne sait pas en réalité qui tire les ficelles". Vieilles histoires que celles des théories des complots en tout genre qui fleurissent, puis vont et viennent au gré et de l'actualité et des moyens de communication.
Toute tendance politique confondue, les trois quarts des sondés estiment que c'est la finance internationale qui dirige le monde. Un monde qui serait également aux mains des médias– un énoncé auquel adhérent près de 45 % des sondés – et de pays étrangers en mal de domination – pour 44 % d'entre eux. Viennent ensuite la conspiration ourdie par des "groupes secrets tels que les francs-maçons" (27 % d'approbation) et "certains groupes religieux" (20 %).
Le journal de référence passe sous silence que cet organisme anglais -dénommé Counterpoint- n'est pas exactement un laboratoire indépendant de recherche universitaire. Sa directrice, Catherine Fieschi, est administratrice au sein d'un influent lobby ultra-sioniste de Grande-Bretagne : The Institute for Jewish Policy Research.
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