Et si la Bible disait la vérité ?
by Top Secret , 8 octobre 2014
On a longtemps suspecté les récits bibliques. Certes, leur valeur spirituelle, même pour l’incroyant, n’a jamais été mise en doute, mais la science réfutait a priori leur intérêt historique. Il n’était pas question de prendre pour argent comptant des textes narrant des événements par l’extraordinaire. On préférait, par facilité sans doute, les verser au dossier du mythe et de la légende religieuse, voire de la parabole symbolique.
Aujourd’hui, avec les nouvelles découvertes archéologiques et les progrès de la recherche tous azimuts, une nouvelle conception se fait jour chez les savants.
Confirmation archéologique
à la lueur de récents travaux, scientifiques internationale, (et du CNRS), il apparaît que la Bible est beaucoup plus exacte qu’on le croyait, du moins pour qui sait la déchiffrer correctement. Des recherches intenses archéologiques conduites de 1948 à 1998 en territoire hébreu prouvent son authenticité historique.
Soucieux d’affirmer leur identité et surtout leurs droits imprescriptibles (sur cette terre), les Israéliens ont été pris en effet d’une véritable frénésie archéologique. Le général Moshe Dayan, mort depuis 27 ans a ainsi passé toute sa vie à effectuer des fouilles en se guidant d’après la Bible…
En trente ans, les trouvailles se sont multipliées et l’on commence à savoir avec précision ce qu’était la vie en ces terres voici plusieurs millénaires. Chaque découverte confirme ce qui est écrit dans la Bible. Ainsi, a-t-on récemment exhumé les restes de la Jérusalem bâtie par le roi David qui régna de 1010 à 970 (environ ?) avant notre ère. On croyait sa cité quasiment mythique, ne connaissant que les ruines du fameux temple de Salomon et la partie de la ville de l’époque d’Hérode, contemporain du Christ.
En outre, dans le reste du pays, l’historien Aharoni a pu faire le relevé de trois cent soixante villes identifiables à l’époque royale sur les quatre cent soixante-quinze dont la Bible cite les noms à de nombreuses reprises.
Exactitude historique, donc, en ce qui concerne les lieux et les hommes dont, par ailleurs, on retrouve largement trace dans les textes des civilisations voisines, de l’Egypte à la Babylonie.
Mais que faut-il penser des événements eux-mêmes, surtout lorsqu’ils prennent un caractère d’épopée comme la destruction apocalyptique de Sodome et Gomorrhe, la prise de Jéricho ou l’épisode curieux de la tour de Babel ?
Confirmation des évènements
Un historien allemand qui fut très connu, à sont époque, Werner Keller, a publié une thèse à ce sujet. Pour Werner Keller, tout ce que l’on croyait être légendes et récits mythiques est au contraire absolument exact. Les dernières découvertes de 1998 le démontrent. L’auteur pense même que nous n’avons pas fini d’être étonnés par la précision historique de ce grand texte.
- Alors l’Eternel, nous dit la Genèse (XIX, 24), fit pleuvoir du ciel sur Sodome et Gomorrhe, du soufre et du feu de par l’Eternel, il détruisit ces villes, toute la plaine et tous les habitants des villes, et toutes les plantes de cette terre.
Les historiens ont longtemps pensé que les deux cités maudites n’existaient pas ou bien n’étaient que deux bourgades accidentellement détruites par un cataclysme naturel que l’esprit religieux de l’époque avait attribué à une hypothétique colère divine. Or, Keller démontre qu’il s’est effectivement passé quelque chose des plus étrange dans le coin de la mer Morte où se situaient les deux villes.
Il cite à l’appui de cela les travaux des deux archéologues italiens, Paulo Matthias et Giovanni Pettinato. Ces derniers ont découvert des tablettes d’argile qui mentionnent le nom des deux cités et la catastrophe. Déluge de soufre et de feu, éruptions volcaniques ou quelque chose d’autre… comme une intervention extraterrestre. Et que penser de la radioactivité importante dans cette zone ? Il semble qu’à Sodome et Gomorrhe se soit produit une curieuse et terrible explosion qui nous incite à imaginer l’utilisation d’une technologie peu compatible avec l’image que nous avons de l’Antiquité lointaine. Quelle était donc cette arme singulière dont le secret aujourd’hui perdu appartenait alors au mystérieux peuple des anges (qui a averti Lot et sa famille de la menace qui pesait sur la ville). Nous ne saurons sans doute jamais ce qui s’est passé exactement, mais d’étranges traces de la “colère divine” demeurent dans les sites archéologiques du Jourdain où l’on croit avoir découvert les vestiges des malheureuses cités.
Keller cite ensuite la miraculeuse destruction de Jéricho. Les Hébreux de Josué auraient abattu les murs de la ville avec des cris et le son de trompettes sacrées.
L’archéologie a prouvé que les fameux murs de Jéricho existaient bel et bien et qu’ils ont sans doute été détruits de curieuse façon.
L’historienne britannique Kathleen Kenyon a effectué sur place des fouilles significatives qui ont permis d’exhumer les fortifications de la cité biblique. La question qui s’est alors posée aux chercheurs a été de comprendre comment de telles fortifications avaient bien pu être détruites. Toutes hypothèses examinées, force a été de conclure qu’il fallait peut-être accorder foi au récit du livre de Josué. Les Hébreux auraient donc bien abattu les murs en émettant avec leurs “trompettes” certaines fréquences d’infrasons, amplifiées par la mystérieuse Arche d’Alliance. (Les infrasons et ultrasons sont utilisés actuellement pour la destruction des calculs rénaux, et aussi dans des armes secrètes pour provoquer des arrêts cardiaques et des hémorragies cérébrales à distance.)
De toute évidence, l’Arche d’Alliance devait être une sorte de générateur de forces inconnues et terribles. Nous en avons d’ailleurs la preuve dans d’autres passages du texte. Uzza fut frappé à mort parce qu’il la toucha simplement, et les habitants de Beth-Schémesch furent mystérieusement châtiés pour avoir voulu regarder à l’intérieur.
Rappelons encore les immenses pouvoirs qu’elle conférait à Moïse ou à David.
Ainsi, à Jéricho furent mis en œuvre les pouvoirs secrets du son. La science actuelle découvre ou redécouvre ces pouvoirs de nos jours.
Il semblerait qu’ils aient été couramment utilisés dans l’Antiquité indienne, égyptienne ou grecque. Alors d’où nos lointains ancêtres tenaient-ils cette technologie ?
Force est d’admettre qu’à chaque fois, ces connaissances furent placées entre les mains des hommes par des Dieux venus du ciel ; des extraterrestres. Cette version de l’histoire humaine est si tenace qu’on l’a retrouve invariablement au cœur de toutes les cultures du monde. Cela devrait faire réfléchir les sceptiques, non ?… Spielberg ne tient pas un autre propos dans le dernier volet d’Indiana Jones. C’est seulement pour ne pas froisser les susceptibilités religieuses qu’il choisit de parler de crânes de cristal et qu’il évite de baser son film sur un vestige biblique comme ce fut le cas avec l’Arche d’Alliance dans le premier volet. Il faut dire que là, dans l’ultime volet, son discours est limpide et sans équivoque : les Dieux sont des Extraterrestres… sous-entendu tous les Dieux, même ceux des religions monothéistes… Le grand public fera-t-il le rapprochement, verra-t-il le raccourci, le lien entre le premier volet et le dernier ?… tout porte à croire que leur réflexion n’ira pas jusque-là. Trop vert encore ?… C’est du moins ce que doit penser Spielberg qui n’a pas osé aller jusqu’au bout de son message. Reste pourtant que tout est clair comme de l’eau de roche.
La course à la technologie des Dieux
Si la Bible dit vrai, pourquoi n’en serait-il pas de même des autres mythes parlant de continents engloutis dont les peuples auraient maîtrisé des forces à la fois simples et terrifiantes. Les historiens nazis ont cherché la clé de ces mystères à travers le monde. Après eux, les spécialistes russes qui avaient eu accès aux dossiers secrets du IIIème Reich, se sont lancés dans la course.
On ignore tout de ce qui a pu être découvert par les uns ou les autres. Notons simplement au passage que les Russes multiplient depuis trente ans, les expériences en matière de sonorités étranges et qu’ils ont mis au point certaines armes uniquement basées sur les fréquences qui ont abattu les murs de Jéricho.
En France, dans les années 70, un scientifique, le professeur Gavreau, mit au point dans ses laboratoires de Marseille, un canon sonore aux terrifiants effets sur l’homme comme sur tous les matériaux. Ses recherches furent interrompues par décision spéciale, mais que sont devenus les secrets de cette arme ?
Conclusion
Il se peut que nous ne sachions pas encore lire la Bible et avec elle les autres textes sacrés fondamentaux de l’histoire des hommes. Ils sont historiquement exacts, du moins quand on possède les clés pour les décrypter. Alors, pourquoi ne pas penser que s’y trouvent dissimulés quelque part les secrets de ces sciences perdues.
Dans sa thèse la “Musique de la Bible révélée”, S. Haïk Ventours a découvert que le graphisme même des versets hébraïques traditionnels recelait une notation oubliée.
(Les Templiers utilisaient la Musique comme codage secret pour les initiations).
Musicienne avant tout, S. Haïk Ventours s’est attachée à restituer le caractère artistique de cette musique. Mais, n’en doutons pas, dans l’écriture même de la Thora se trouve quelque part une formidable puissance qu’il reste à découvrir.
Dans son livre, Werner Keller évoque encore de nombreux aspects des textes bibliques qui ont été confirmés récemment par les découvertes des archéologues et des historiens.
Le royaume de Salomon, par exemple. On pensait que la gloire de ce souverain était surtout le fait de ses historiographes désireux de le porter aux nues pour lui être agréables. Il n’en est rien. Le docteur Nelson Glueck, de la prestigieuse American School of Oriental Research, a démontré que Salomon était à la tête d’un empire qui dépassait de loin les frontières de l’Etat hébreu. Il exploitait des mines de fer et de cuivre dans le désert d’Arabie.
Ses bateaux firent le tour de l’Afrique, peut-être avant ceux de Phénicie. Ses ingénieurs étaient les plus remarquables de l’époque et des tablettes babyloniennes prouvent qu’ils disposaient de technologies secrètes ramenées de très loin. Quel peuple perdu ont-ils rencontré là-bas ? Il ne fait pas de doute que Salomon entretenait avec lui des relations commerciales et culturelles poussées. Certains historiens parallèles ont écrit qu’il disposa peut-être des connaissances du Gondwana dont étaient issus les constructeurs oubliés de la cité africaine aux murs cyclopéens.
Certes, c’est là pure hypothèse. Mais, encore une fois, tout est possible.
Même l’histoire de la tour de Babel n’est pas un mythe. Le chercheur allemand Robert Koldewey a découvert les vestiges de cette construction. Il a noté, comme les autres, que la structure en briques de la tour correspondait exactement à la description qu’en faisait la Bible.
Il nous faut donc croire aussi à la civilisation qui a édifié la tour. Celle des hommes, nous dit le texte, aux temps où les langages ne les séparaient pas encore. Celle d’une humanité au noyau commun avec des dieux venus du ciel pour la diriger…
Si tout cela est vrai, une fois de plus, pourquoi pas le reste, tout le reste…
Claude Burkel
source : http://www.topsecret.fr/et-si-la-bible-disait-la-verite/