Sujet: Dropas , Chrestians ou Cagots, Peuples du Ciel et Peuples Extraterrestres oubliés et pourtant si proche de nous ! Mar 29 Sep - 19:06
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Une autre présentation des Chrestians et Dropas ! Peuples Extraterrestres oubliés volontairement et pourtant si proche de nous ! Quand on vole son histoire au peuple on lui prend tout !
Souvent on cherche loin ce qui est tout près ! Histoire d'une colonisation extraterrestre " made in France ! "
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Les Dropas
L'une des histoires les plus extraordinaires et incroyables relatives à des visiteurs extraterrestres débute en 1938 alors que l'archéologue Chi Pu Tei découvre une série de tombeaux régulièrement creusés et alignés dans des cavernes artificielles des montagnes de Baian Kara Ula près de la frontière sino-tibétaine. Entre des décorations montrant de petits êtres coiffés de casques, des étoiles, des planètes et des lignes qui les joignent, il trouva de petits squelettes aux larges crânes. Il fut vite évident que les étranges squelettes n'étaient pas ceux d'une espèce inconnue de singe, lesquels n'enterrent pas leurs morts.
On trouva également des objets de pierre contenant des traces de métaux incongrues, parfaitement circulaires et ornée de symboles stellaires et d'une écriture minuscule en spirale. Ce n'est qu'en 1962, qu'un linguiste chinois réussit à traduire le texte d'un des 700 disques entreposés à l'Académie de Pékin.
Cette traduction nous rapporte l'histoire d'un groupe d'êtres qui se sont écrasés sur la Terre il y a 12.000 ans et qui se sont trouvés incapables de réparer leur vaisseau. Ce groupe fut d'abord traqué, à cause de son apparence inhabituelle, par la tribu de chasseurs qui occupait les lieux, mais finit à force de gestes pacifiques à se faire accepter et à s'installer en paix. Cette traduction fur largement ignorée ou moquée par les collègues du traducteur, car elle ne cadrait vraiment pas avec les idées que l'on pouvait alors accepter.
PREMIERES ANALYSES SCIENTIFIQUES DES PIERRES DROPAS
L’engin intergalactique s’avérant irréparable- faute de trouver sur Terre les matériaux adéquats- les membres extraterrestres de l’équipage se sont alors vu contraints de s’adapter à ce nouvel environnement. De génération en génération, les Dropas se seraient finalement acclimatés à leur existence terrienne, l’inaccessibilité de la zone géographique où ils avaient élu résidence leur garantissant un relatif anonymat. Les récits locaux indiquent par ailleurs que ces êtres de petite taille à la boîte crânienne prédominante seraient originaires d’une des planètes de l’étoile Sirius.
Puis l'équipe a fait la découverte la plus incroyable de tous : A moitié enterré dans le sol de la caverne, un disque en pierre, évidemment façonné par la main d'une créature intelligente. Le disque faisait approximativement neuf pouces de diamètre et trois quarts de pouce d'épaisseur. Au centre exact du rond, un trou, et une cannelure fine se développant en spirales du centre jusqu'au bord, comme un genre de disque primitif de phonographe.
Les Cagots ont des particularités physiques indubitables et fort révélatrices d’un certain passé, d’une certaine hérédité serpentesque :
ils sont de petite taille , à l’instar des Nagas, Australoïdes, Dropas et Dravidiens, chauves, dépourvus de pavillons d’oreilles ainsi que de lobes (ou atrophiés de cet organe), en cette place on ne distingue que deux trous, semblables aux organes auditifs des reptiles et des oiseaux ; le teint olivâtre laisse enfin deviner une peau particulière, peut être fort sombre ou simplement écailleuse. En sus, ils ont les pieds ainsi que les mains palmés, et dégagent de surplus une chaleur corporelle inhabituellement élevée, et sans doute radioactive.
Quant à l’ethnie voisine DZOPA ou « DROPA », elle n’est point en reste. Ce nom serait en effet à rapprocher de celui d’un autre de ces peuples montagnards du Tibet appelé « DROK-PA ». Lorsque l’on sait que le suffixe « –PA » signifie en chinois « les gens », « le peuple », on ne peut qu’identifier dans la racine « DROK » ou « DRAK », le DRAGON !
Rappelons pour mémoire que les Nagas avaient la peau écailleuse, qu’ils étaient réputés capables de voler dans l’espace (grâce à leurs engins volants Vimanas) et même de cracher du feu, à en croire leurs descendants Dravidiens, d’où leur lien évident avec le symbolisme du DRAGON (que l’on retrouvera à Draguignan avec les Mérovingiens, et dans le nom de Dagobert ou DRAGOBERT) et là encore celui, biblique, du SERPENT et de CAÏN son fils.
Cette ethnie serpentesque « caïnite » (descendante de Caïn, le Premier Occupant de la Terre) ou « PEUPLE DU DRAGON » (DROPA ou DROK-PA), à l’apparence pour le moins étrange, aurait ainsi, à bord d’« avions des nuages », colonisé exactement les mêmes régions (marécageuses, désertiques ou montagneuses) que les multitudes australoïdes : l’Himalaya, donc le TIBET et son Mont MÉRU, le désert de GOBI (où nous retrouverons au XII ème siècle le « royaume du prêtre Jean », prolongement du VAR originel édifié par le souverain JEAM), certaines provinces de CHINE (cf. HAN-DROPAS), ainsi que l’INDE voisine , mais également l’Ethiopie ou « Inde Africaine », où sera plus tard, au XIV ème siècle, localisé ce fameux « royaume du prêtre Jean ».
En somme, la légende des Nagas, êtres serpentesques se déplaçant au moyen d’engins volants ou Vimanas, constitue le centre symbolique du réseau de correspondances reliant entre elles toutes ces peuplades.
Or, curieusement, c’est précisément cette origine si particulière (caïnite) que les Nagas, Australoïdes, Dropas et autres Dravidiens partagent, avec une peuplade de renommée flétrie, davantage proche de nous dans le temps, qui se popularisa à partir du XV ème siècle en France sous le nom générique de : «CAGOTS»
LES CHRESTIANS OU CAGOTS
Nous sommes en l’an 800, la population de la ville de Lyon voit apparaître dans le ciel d’étrange objet lumineux descendant du ciel. Les objets venants du ciel se posèrent dans un champ assez près de la ville. Les habitants de la ville sortir ainsi que les êtres venant de ces vaisseaux. Ils essayèrent de communiquer, mais les habitants de la ville ne comprenant rien se saisir de ces créatures, les clouèrent sur des planches et les jetèrent dans la Saône et le Rhône…
Ces êtres étaient de petites tailles, généralement blond au yeux bleu. Leurs oreilles sont dépourvu de lobes, des visages disgracieux, avec parfois le teint olivâtre. Ils avaient selon les dirent de l’époque une odeur nauséabonde. Pour d’autre ils sont chauve, sans pavillons d’oreilles, on voit seulement deux trous, ont des doigts et pieds palmés et dégagent une forte odeur… Mais d’autre description existe, certaine complètement contradictoire il faut dire que pour la population de l’époque c’était des étranger et même des marginaux… Il semble aussi que l’on ne voulait connaître rien d’eux, au point que même pour certain ils étaient hermaphrodite et on leur interdisait de se marier avec le reste de la population…
On ne sait pas d’où vient ce peuple. On le dit "tombé du ciel".
Peu d’événements étaient susceptibles d’étonner l’homme de l’époque médiévale car il survivait alors à grand-peine. Lorsqu’il avait résisté aux hivers rigoureux, aux guerres féodales et aux fléaux, il acceptait sans trop se formaliser les incursions de l’irréel ou du fantastique dans le réel. D’ailleurs, la frontière était floue entre l’imaginaire et le vécu et les phénomènes étranges pouvaient communément être acceptés comme des signes d’une autre réalité. L’Eglise elle-même saisissait les esprits en évoquant la présence immanente du malin et en décrivant les forces obscures de démons immatériels. La mort faisait partie du quotidien et chacun se savait continuellement menacé.
Seul cet aspect de la pensée médiévale peut expliquer que, en l’an 800, sous le règne des Carolingiens, les habitants de la vieille ville de Lyon n’aient pas été choqués de l’apparition de surprenants objets descendants du ciel.
Les Lyonnais franchirent les portes fortifiées de la ville et gagnèrent avec force cris les champs où venaient de se poser les vaisseaux. Ils furent rapidement encerclés, un grand silence se fit lorsque le premier pilote sortit de l’engin. Comme les citadins ne comprenaient rien à son langage inconnu, il fut décidé sans autre forme de procès de s’emparer de ces êtres. Les pilotes venus du ciel furent immédiatement cloués sur des planches et confiés au courant de la Saône et du Rhône.
Ainsi pensait-on châtier ces étranges visiteurs qui » venaient sur Terre pour abîmer les récoltes par le fracas de leurs terribles engins volants « . Ce châtiment était supposé dissuader d’autres visiteurs célestes qui, voyant du ciel leurs compagnons emportés par les flots, se seraient tenus à distance de la Terre.
Pourtant, des chroniqueurs médiévaux rapportent que, quelque temps plus tard, apparurent en grand nombre, dans nos régions et sous nos climats, des êtres aux caractéristiques physiques pour le moins étonnantes. Bien que d’abord persécuté, ils furent peu à peu tolérés jusqu’à vivre à côté des humains. Relégué au rang des bannis, ils s’organisèrent de façon autonome en marge de la société. Les représentants de cette race maudite furent baptisés » Chrestians « , » Gézitains », » Gahets », » Agots « , ou encore » Cagots « .
Les nombreux historiens à s’être penchés sur l’histoire de cet étrange peuple dispersé, retrouve, aux quatre points cardinaux de l’Europe, la même description de ces êtres que celle qui fut faite en France.
Les Chrestian sont des caractéristiques physiques étranges : ils sont chauves, ils n’ont pas de pavillons d’oreilles visibles (à leur place, on distingue deux trous, comme chez les sauriens), ils ont les pieds et les mains palmés et ils dégagent une chaleur corporelle absolument anormale. Ce sont des particularités, maintes fois relevées, qui firent qu’on les relégua longtemps en tribus, aux portes des cités où ils érigeaient des sortes de faubourgs autonomes
Comme on considérait alors qu’ils avaient un aspect repoussant, obligation leur était faite d’être amplement vêtus, encapuchonnés et chaussées. Ceci étant, même soigneusement vêtus, les Chrestians avaient pour autres obligations de porter, cousue sur leurs vêtements, bien visible sur la poitrine, une patte d’oie séchée et peinte en rouge. Cette signalétique rappelée à la population que ces êtres avaient des pieds et les mains palmés !
Dès le VIIIème siècle, des récits qui ressemblent aux témoignages ufologiques du XX ème siècle foisonnent. Il y est fait le cas de mystérieuses êtres (extra terrestre?), provenant d'endroits inconnus, parlant des langages incompréhensibles et incapables de justifier leur présence.
Des fresques montrent des personnages volants.
Plus tard, lors d’une autopsie, Ambroise Paré (1509 - 1590) déclare que les Cagots ont le sang d’une couleur spéciale, en le bleu et le vert, et que lors d'une saignée, il est apparu bouillonnant. Il constate aussi que les Cagots ont le don de momifier les objets. Il explique cela par la chaleur anormale qui se dégage du corps des Chrestians.
Les autres scientifiques ont refusé de se pencher sur le phénomène ?
Hagetmau - fontaine des cagots -
Porte des Gagots de l'église de Saint-Aubin
Cagot
Les Cagots arrivant à Lyon au 8ème siècle depuis leurs "bateaux volants" :
À l'époque, les Chrestians, qui vivaient toujours en groupes isolés, n'avaient perdu aucune de leurs caractéristiques physiques et physiologiques consignées sous les Carolingiens. Ambroise Paré passa donc plusieurs semaines à en étudier quelques spécimens. S'efforçant de ne pas se laisser influencer par les rumeurs, il s'attacha à accumuler de véritables constatations médicales et à les consigner soigneusement par écrit. Il rapporte notamment la capacité prodigieuse d'un Chrestian à pratiquer la «momification par magnétisme ». Cet exercice, rapporté ici dans le vieux français d'origine, est supposé révéler la puissance du magnétisme personnel: «L'un d'iceux tenant en sa main une pomme fraîche, icelle après apparaisoit aussi aride et ridée que si elle eut resté l'espace de huit jours au soleil. »
Ambroise Paré explique cette réaction par la chaleur anormalement élevée dégagée par le corps d'un Chrestian. D'ailleurs, on a dit que lors d'une saignée, il sortait de ses veines un liquide presque bouillonnant et d'une teinte entre le bleu et le vert ! Ces caractéristiques firent qu'un arsenal juridique spécifique fut mis sur pied afin de les mettre au ban de la société et d'éviter qu'ils ne risquent de se mêler aux humains. Vivant en groupes dans les faubourgs des cités, ils avaient leurs propres cimetières où ils étaient systématiquement inhumés sans prêtre ni office religieux.
Pourtant, en reprenant certains éléments de leur histoire, on peut, par exemple, être frappé par l'aspect de saurien qui fait du Chrestian un parfait extraterrestre, semblable à ceux décrits par les contactés depuis le milieu du XXe siècle ! Ensuite, fait encore plus troublant, ces êtres «venus de nulle part» débarquent en Occident et principalement en France, juste après qu'y soit apparue une inexplicable invasion de vaisseaux aériens dont les pilotes, une fois pris, étaient systématiquement jetés dans les rivières après avoir été cloués en croix.
Ces vaisseaux apparus en grandes quantités, comme le décrivent si bien les documents de l'époque appelés capitulaires, n'ont finalement été remarqués que là où il y avait des témoins pour les voir, c'est-à-dire près des cités. On peut penser que la plupart de ces engins ont pu finalement débarquer sur Terre le plus paisiblement du monde. Quoi d'étonnant, dans ce cas, à ce que cette population aux caractéristiques physiologiques particulières ait formé une population rapidement mise à l'écart des villes? Pendant plus de six siècles, ces hommes sont restés «les maudits» de notre histoire et il leur faudra attendre le XIXe siècle pour se fondre définitivement dans les rangs de la population terrienne. Pour approcher un peu plus le mystère de cette population paria, le château médiéval de Nestes (IXe-Xe siècles), dans les Hautes-Pyrénées, a ouvert le musée des Cagots. On y apprend notamment que l'on interdisait à ces «intouchables» du Moyen Âge de boire aux fontaines de peur qu'ils ne les souillent...
NICE 1608 - Dans les archives de la ville de Nice, une bien curieuse histoire d'intervention extraterrestres fût retrouvée. Je vais vous livrer ce document.
Le 5 août 1608, les niçois voient apparaître dans le ciel, trois masses lumineuses se déplaçant à grande vitesse. Les engins s'arrêtent au dessus de la forteresse. Ils descendent à 1 m de la surface de la mer, à faible vitesse. Les habitants peuvent examiner en détails les trois engins.
Se maintenant proche de l'eau les trois masses provoquent une sorte de bouillonnement de l'eau avec dégagement d'une vapeur ocre orangée, dans un bruit infernal. De l'un des engins surgit un être, puis deux……
Ces deux personnages plongent dans l'eau jusqu'aux hanches. Leurs bras maintiennent à la verticale deux tubes raccordés à la ceinture. Pendant deux heures les engins restent pratiquement en cette position. Puis les êtres embarquent, les engins partent vers l'Est, dans un bruit infernal, et disparaissent en quelques secondes.
Les Niçois attribuant ce phénomène à un avertissement de Dieu, ils s'ébranlent en de longues processions religieuses, portant le christ en tête, jusqu'à l'aube du 6 août 1608.
Au matin du 22 août, les trois engins se présentent à Gênes. Informé des évènements survenus à Nice 17 jours auparavant, ils déclanchent un violent tir d'artillerie sur les trois vaisseaux. 800 boulets sont ainsi tirés, sans que les engins ne subissent de dommage. Après une heure d'évolution au dessus des flots, un engin se détache du groupe et fonce sur la ville à une vitesse vertigineuse.
Une folle panique s'empare alors de la population, et l'on relève plusieurs morts et blessés après le passage de l'engin à la suite de piétinement, émotions ou radiations émises par le vaisseau. Les trois vaisseaux se regroupent ensuite et disparaissent vers l'Est à une vitesse vertigineuse.
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Vague d’ovnis à Nice en 1608 – et Gênes, Martigues, avec ensuite une pluie rouge
Une semaine plus tard, d’abondantes pluies rouge comme le sang tombent dans la région. Les habitants pensent qu’il s’agit de sang, et qu’ils ont à faire à une vengeance divine, à la suite des èvennements de Martigues, Nice ou Gènes !…..
Le 25 août 1608, dans le ciel de Martigues apparait un vaisseau spatial qui évolue durant une 1 h 30 au dessus de l’aglomération. Deux êtres sortent du vaisseau, évoluant autour de l’engin et semblant se livrer à un duel en plein ciel. Ce sera la dernière manifestation relaté par cet écrit dans la région Méditerranéenne.
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