Akasha
Messages : 1534 Points : 2728 Réputation : 50 Date d'inscription : 17/03/2015 Age : 47 Localisation : par là tout droit
| Sujet: L’image du jour: la différence de vaccination d’un américain jusqu’à 18 ans entre 1983 et 2016 Ven 7 Aoû - 19:30 | |
| Bonsoir mes frères & sœurs Je rappelle à toute fin utile que notre combat est pour l'amélioration de la santé. Que se soit pour réclamer de meilleurs traitements ou le patient potentielle est traité comme tel, et non comme une donnée, dans l'équation de rendement de bénéfice. Notre but question vaccination n'est certainement pas de dire aux lecteur de ne plus se vacciner, ce n'est de toutes les façon pas de notre ressort. Mais simplement d'informer sur les risques et de montrer des faits probant de dysfonctionnement, autant au niveau du produit, que d'études fallacieuses dont le but est de promouvoir la prise de produit dangereux ou voir inutile. Les mensonges sur les chiffres et ainsi de suite. . Nous prônons aussi une meilleurs santé par la nourriture, une nourriture saine et responsable. Voilà ce qu'est notre combat, et nous l'assumons pleinement car on sait qu'il est juste. Akasha.
L’image du jour: la différence de vaccination d’un américain jusqu’à 18 ans entre 1983 et 2016Je ne peux que vous conseiller la lecture de cet article sur une ancienne employée de Merck qui déclare ouvertement que non, les vaccins ne sont pas là pour soigner, mais uniquement pour une question de profit, du moins, à l’heure actuelle… Et dans cet article, il y a cette comparaison assez phénoménale, une raison de plus pour lutter contre cette mafia médicale qui n’a qu’un seul but: nous imposer des vaccinations inutiles pour la plupart. Brandy Vaugham est une ancienne représentante de ventes pour le fabricant de vaccins Merck & Co. Elle explique en détails comment les fabricants de vaccins se servent précisément des vaccins pour réaliser d’énormes profits et non pour la Santé publique. Brandy a effectué des recherches sur la sécurité des vaccins. Elle a trouvé que, non seulement les vaccins contenaient des produits toxiques connus qui pouvaient provoquer des dégâts neurologiques, mais aussi que les fabricants de vaccins ne réalisaient pas les mêmes études de sécurité pour les vaccins comme ils le font pour les autres médicaments. Ce manque de recherches sur la sécurité des vaccins ajouté aux effets secondaires de la vaccination a contribué à faire prendre à Brandy la décision de ne jamais faire vacciner son enfant. Brandy déclare qu’administrer des vaccins à nos enfants, c’est comme jouer à la roulette russe avec eux. Elle ajoute que la vaccination obligatoire est simplement un moyen pour les fabricants de vaccins de faire de plus amples bénéfices encore sur le dos de nos enfants. S’il vous plaît, ne soyez pas dupes : nous n’avons aucun besoin de vaccination obligatoire. Mon premier engagement dans l’industrie pharmaceutique comme représentante pour la firme Merck date de l’époque où le Vioxx était sur le marché. J’étais, en fait, représentante pour le Vioxx de Merck. Quand il est apparu que Merck avait falsifié ses données de sécurité, et que le Vioxx provoquait deux fois plus de crises cardiaques et accidents vasculaires cérébraux chez les personnes qui prenaient le médicament, j’ai commencé à réaliser qu’il y avait beaucoup de corruption dans les coulisses et que ce n’était pas parce qu’un médicament était sur le marché qu’il pouvait être considéré comme sûr.
Après avoir travaillé pour Merck, je fus assez désabusée par l’ensemble du scandale. J’ai vécu à New-York pendant huit ans, et c’est là que j’ai eu mon fils. A six mois, je l’ai ramené avec moi à San Francisco sans qu’il soit vacciné. Quand je me suis rendue à la visite médicale, ils ont essayé de nous fourguer les vaccins. A cette époque, je n’avais pas encore fait énormément de recherches, mais j’en savais déjà assez pour ne pas faire aveuglément confiance aux médicaments. Au cours de la visite médicale, j’ai demandé à voir la notice du vaccin. Le médecin a éclaté en colère, prétendant que je ne lui faisais pas confiance. Il sortit en claquant la porte et une infirmière me fit savoir que je ne serais désormais plus jamais la bienvenue dans cette clinique. Sachant tout ce que j’avais déjà appris en tant que représentante, ce fut pour moi un fameux et énorme signal. Je poursuivis donc mes recherches sur les vaccins, les ingrédients et les données inexactes de sécurité.
Je découvris beaucoup de choses. L’une d’elles était que l’aluminium était le principal adjuvant des vaccins pour enfants. J’avais déjà fait certaines recherches sur l’aluminium et avais donc déjà une certaine expérience. Ma grand-mère avait eu un cancer du sein. La biopsie avait montré des taux élevés d’aluminium dans ses tissus. Le médecin nous expliqua que ma grand-mère devait abandonner les déodorants traditionnels parce que l’aluminium qui s’y trouvait était susceptible de provoquer le cancer. C’était un produit cancérogène. Ce fut encore un fameux signal d’avertissement pour moi quand je réalisai que ces produits se trouvaient dans les vaccins pour les enfants. Je parvenais à peine à y croire !
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