Akasha
Messages : 1534 Points : 2728 Réputation : 50 Date d'inscription : 17/03/2015 Age : 47 Localisation : par là tout droit
| Sujet: L’homme génère des pensées matérielles par essence et qui vivent de manière autonome dans l’espace et le temps Lun 25 Mai - 21:51 | |
| Bonjour mes frères & sœurs Voici un article extrais d'un livre que j'ai vraiment apprécié..C'est très intéressant, cela traite des énergies généré par nos pensées, qui explique que rien ne se perd, cette énergie est réutilisée..Tout comme celle de nos prière, quand nous les adressons au Dieu suprême ou à des Dieux...Il y est aussi question de notion karmique. Je vous laisse découvrir cet article, et n'hésitez pas à y réagir ! Akasha
L’homme génère des pensées matérielles par essence et qui vivent de manière autonome dans l’espace et le tempsBoris Iskakov est né le 14 novembre 1934 à Magnitogorsk. En 1957, il a achevé ses études à l’Institut de techniques physiques de Moscou.
Auteur de la théorie des réactions en chaîne dans l’économie, il a consacré une série d’ouvrages à l’application des méthodes mathématiques en agriculture. Docteur en économie, Boris Iskakov étudie depuis quelques années les méthodes statistiques et quantiques servant à modéliser les processus qui s’opèrent au niveau leptonique. Il est l’auteur de nombreuses publications évoquant la nécessité d’allier la Science et la Religion. L’article que nous publions est le fruit de sa collaboration avec le journaliste Mikhaïl Dmitrouk.
Les équations de Schrödinger-Dirac sont bien connues dans la physique quantique. Elles décrivent les lois qui régissent la conservation des probabilités pour les flux de matière au niveau des particules élémentaires du microcosme. Procédant à des transformations mathématiques, j’ai obtenu des équations analogues dont la sphère d’application est pourtant plus vaste : il s’agit des lois qui déterminent la conservation des probabilités pour les flux de matière, d’énergie et d’information. Ces équations ont un sens philosophique qui dépasse de loin le cadre de l’interprétation traditionnelle des équations de Schrödinger-Dirac. Pour leur donner un nom, j’ai utilisé un terme relevant de la philosophie orientale : le karma. Ce terme signifie au sens strict l’inévitabilité de la récompense et du châtiment pour les actions et pensées selon qu’elles sont bonnes ou mauvaises. Au sens large, le karma désigne le principe de l’unité, de l’intégrité, de l’interdépendance et de la causalité dans l’Univers.
Ainsi donc, les « équations du karma » (dont l’outillage mathématique est emprunté à la mécanique quantique) décrivent non seulement les mouvements de la matière, mais aussi – et surtout – l’évolution de l’ensemble des interdépendances, signaux, évènements et processus. Il existe deux équations de ce genre : l’une est directe, l’autre, conjuguée :
Où les opérateurs se présentent comme suit : http://quanthomme.free.fr/energielibre/systemes/aura3.gif
Les symboles employés sont :
Les équations du karma permettent d’arriver à des conclusions philosophiques d’importance fondamentale. Il en découle notamment que la diffraction s’opère non seulement dans l’espace, mais aussi dans le temps.
C’est comme si tout événement qui se déroule subissait une sorte de fission au niveau temporel et spatial à la fois. Un signal, tout en se propageant, engendre une série de pré-signaux qui s’affaiblissent au fur et à mesure qu’ils le devancent. Mais il entraîne également des post-signaux, qui le suivent et qui s’atténuent au fur et à mesure de leur éloignement. C’est donc d’après les premiers présages que les chercheurs les plus perspicaces parviennent à prévoir un événement qui doit avoir lieu à l’avenir. Ce phénomène est appelé « prévision scientifique ».
Mais il existe également une prévision intuitive. C’est elle qui, il y a des centaines d’années, permit aux extra-lucides d’alors de prédire certains évènements qui se produisent de nos jours.
L’existence des pré-signaux est à l’origine de la « précognition relative », phénomène qui fait qu’un sujet doué d’une sensibilité très élevée apprend le premier l’événement qui vient d’avoir lieu. Il capte les signaux extra-faibles qui précèdent cet événement et que la plupart des gens ne sont pas en mesure de sentir.
Je vous citerai un exemple. Figurez-vous une explosion puissante qui se produit au Soleil, en projetant des protubérances à des millions de kilomètres alentour. Le « vent solaire » doit atteindre la Terre 2 à 3 jours plus tard. Il entraînera de violentes tempêtes magnétiques nuisibles aux êtres vivants. Pendant ces périodes, on constate dans tous les pays un accroissement sensible du taux de mortalité.
Il y a des dizaines d’années, Alexandre Tchijevsky a démontré que les cataclysmes qui se produisent au Soleil exercent une action néfaste sur les habitants de la Terre. Est-il possible de prévoir l’approche du « vent solaire » ? Il se trouve que oui, car celui-ci est précédé de signaux, à savoir de flux rapides de photons et de neutrinos qui atteignent notre planète en l’espace de huit minutes. Après les avoir captés, on pourrait prévenir les services de santé du monde entier qu’une tempête magnétique doit éclater dans deux ou trois jours. Ce temps suffirait à prendre les dispositions nécessaires.
L’étude des phénomènes psi requiert la définition du champ énergétique informationnel. Son vecteur matériel – le gaz leptonique – est composé de particules infinitésimales, les microleptons, dont la masse varie de 10-40 à 10-30 g. Beaucoup plus légères que les électrons, ces particules sont capables de traverser tout corps existant dans l’Univers, car l’espace entre les noyaux des atomes est tout aussi vaste pour elles que les mailles d’un filet de pêche pour les molécules de l’air.
Bien qu’elle se rapproche de la notion d’éther universel (très répandue au XIXe siècle), l’idée du gaz microleptonique est pourtant beaucoup plus complexe sur le plan scientifique.
Il ne s’agit pas d’un fluide subtil, impondérable, qui imprègne les corps, mais d’une structure quantique spatio-temporelle remplie de flux tourbillonnaires de microleptons polarisés. Les expériences et calculs du chercheur russe Anatoli Okhatrine démontrent que ces particules constituent le support matériel des pensées et des sentiments humains et les transmettent à des vitesses supérieures à celle de la lumière.
La vitesse de la lumière ne représente la limite que pour un flux continu de vitesses, dit le « continuum ». Quant aux signaux extra-faibles, ils peuvent atteindre des vitesses beaucoup plus grandes. Il en découle que les possibilités de l’homme quant à la connaissance de l’Univers sont pratiquement infinies.
On croyait jusqu’ici que ces possibilités étaient limitées par le rayon Poincaré-Einstein. En multipliant la vitesse de la lumière par la durée de la vie humaine, on obtient une limite que même les vaisseaux spatiaux les plus sophistiqués ne sont pas en mesure de franchir.
Par conséquent, au niveau des signaux extra-faibles, il devient possible d’explorer l’Espace bien au-delà du rayon Poincaré-Einstein.
La pensée humaine est en mesure d’atteindre les régions les plus reculées de l’Univers. Et ce, à des vitesses incroyables. L’homme est capable de recevoir une information sur ce qui se passe à n’importe quelle distance de lui… Telle est la conclusion philosophique fondamentale que j’ai tirée des équations du karma.
Il faut dire d’ailleurs que les tentatives d’allier la Science et la Religion avaient été entreprises bien avant moi, notamment par les fondateurs de la physique quantique. Comme il découle des équations conjointes de Schrödinger-Dirac, l’existence des anti-particules serait possible.
Les équations conjuguées du karma laissent présumer également l’existence des anti-signaux. Si les signaux ordinaires suivent le fleuve du temps, en allant du passé à l’avenir à travers le présent, les anti-signaux vont en sens inverse, de l’avenir au présent et du présent au passé. Cette propriété des anti signaux ne manque pas de surprendre : il se trouve que des personnes et des instruments particulièrement sensibles sont en mesure de capter les signaux émanant de l’avenir !
La voyance, les prédictions, les prophéties sont appelées « précognition absolue ». Ce terme désigne la faculté d’obtenir une information sur des évènements futurs, ceux qui ne se sont pas encore produits, mais dont les personnes hypersensibles ont déjà connaissance.
Le problème consiste seulement à déterminer le degré de cette sensibilité. Les anti-signaux qui viennent de l’avenir sont tellement faibles que seule une poignée d’individus est en mesure de les capter.
Ici, le principe de causalité n’est pas violé, mais son interprétation devient plus complexe, plus subtile, plus dialectique. Des choses analogues sont observées en physique quantique.
Les équations conjuguées du karma attestent que le temps, dans le microcosme, peut inverser son cours, en devenant, pour ainsi dire, l’ »anti-temps ». Cela offre la possibilité d’observer, à partir d’un même point temporel, à la fois le passé et l’avenir des micro-particules et, par là-même, de voir les évènements qui ont eu lieu et ceux qui vont encore arriver.
Certes, l’information sur l’avenir ne nous parvient que sous forme de probabilité. Seuls les paramètres stratégiques de la destinée humaine sont fixés d’avance. Pour le reste, la liberté du choix est totale.
En d’autres termes, l’homme est libre de prendre n’importe quelle décision et d’en assumer l’entière responsabilité. Ainsi donc, son avenir est composé, pour ainsi dire, de deux parties : l’une est prédéterminée, l’autre est celle qu’il peut modifier à sa guise, tout en prenant la responsabilité de ses actes. En résolvant les équations stationnaires, on obtient des résultats fort curieux. Les ondes absorbées et émises par des centaines de points biologiquement actifs se superposent de façon à former une série d’ondes stationnaires qui entourent le corps humain.
Il apparaît donc que ce dernier n’est qu’un noyau dense entouré d’hologrammes énergétiques.
Le premier hologramme imite les contours du corps et contient, au fond, toute l’information sur celui-ci. Cette information est accumulée par les microleptons qui se déplacent le long de l’enveloppe quantique servant de limite au premier hologramme.
Le deuxième hologramme et son enveloppe sont plus grands, mais ils renferment une information plus faible et plus difficile à déchiffrer. Il en est de même du troisième hologramme, etc.
La forme des enveloppes s’arrondit au fur et à mesure qu’elles s’éloignent du noyau. Chacun des hologrammes microleptoniques contient, à un degré de plus en plus affaibli, toute l’information sur l’individu, y compris sur son état d’esprit, sa conscience, ses pensées et ses sentiments les plus intimes. Ces hologrammes, pris ensemble, constituent l’âme leptonique de l’homme.
D’habitude, les enveloppes énergétiques sont invisibles. Mais dans certaines conditions, il devient possible de faire luire le premier hologramme, surtout sa partie qui entoure la tête. Cela tient au fait que les chakras supérieurs sont plus saturés d’énergie. La puissance énergétique de la première enveloppe correspond à quelques fractions d’électron-volt. Cela suffit à provoquer une faible luminescence dans le spectre optique d’ondes. Mais pour y parvenir, il faut communiquer une grande quantité d’énergie aux chakras supérieurs.
[/h3]Cela signifie que l’homme doit mener un mode de vie particulier : se délivrer des viles passions et faire en sorte que ses pensées sentiments et actions soient nobles et élevés.[/h3]
Alors, en excitant la première orbite de quelques fractions d’électron-volt, l’énergie des chakras supérieurs fait apparaître autour de la tête d’un tel homme (un saint par exemple) une auréole lumineuse visible à ceux qui l’entourent.
Dans la peinture chrétienne, on représente en qualité de nimbe la partie supérieure de l’hologramme, celle qui est située autour de la tête. Dans les temples bouddhiques, on peut trouver des images montrant la luminescence de toute l’enveloppe.
Les documents bouddhiques anciens parlent de sept corps de l’homme, dont l’un est dense et les six autres, subtils.[h3]
Le premier hologramme s’appelle « corps éthérique » ; le deuxième, « corps astral » ; le troisième, « corps mental » et ainsi de suite. Selon l’hypothèse leptonique, le nombre d’hologrammes peut être encore plus grand.
Mieux, il y a lieu de croire que les hologrammes entourent non seulement les gens et les autres êtres vivants, mais aussi les objets inanimés.
Qu’est-ce que cela signifie ? Si, au niveau informationnel, chaque corps est présent dans tout le Cosmos, il doit y avoir, dans un secteur limité de l’espace et du temps, une information extra-faible sur l’ensemble de l’Univers.
« Tout est dans le tout », donc « tout est dans le petit », dit le célèbre postulat du Bouddha. Au sens large, cette thèse pourrait être formulée comme suit : chaque point de l’espace et du temps renferme une information exhaustive sur les autres points.
Par conséquent, chaque fraction de l’espace est l’encyclopédie la plus complète, une formidable banque de données sur l’Univers. Il faut seulement apprendre s’en servir.
Il s’ensuit de l’hypothèse leptonique que l’âme est une substance matérielle. Son existence est indéniable.
[h3]L’homme, au sens traditionnel de ce terme, n’est qu’un noyau dense autour duquel circulent des flux de leptons.
L’ensemble des enveloppes leptoniques représente un bioplasma froid qui renferme toute l’information sur le noyau.
On pourrait l’appeler l’ »âme leptonique » de l’homme. Il est à noter que cette notion est susceptible d’une interprétation rigoureusement matérialiste.
Selon la conception leptonique, les pensées et les sentiments sont matériels. Ils sont transmis par les impulsions extra-faibles des champs électromagnétiques et microleptoniques. Les images visuelles, auditives et autres, les pensées et les sentiments existent sous forme d’amas de particules élémentaires extrêmement légères. Ici, je tiens à rappeler la thèse de Platon selon laquelle les « eidos », à savoir les idées, les pensées et les sentiments, existent de façon autonome : ils évoluent dans l’air, en ignorant les obstacles.
C’est à cette conclusion que Platon aboutit voici 2000 ans, et même plus. Aujourd’hui, nous pouvons la formuler en termes de mathématiques. Il est possible de déterminer la masse de la pensée humaine. Celle-ci varie de 10-30 à 10-40 grammes, ce qui signifie que la pensée d’un homme est approximativement 100 fois plus légère que son âme.
L’homme génère des pensées et des sentiments qui sont matériels par essence et qui vivent de manière autonome dans l’espace et le temps. Des études théoriques et des expériences, notamment celles d’Anatoli Okhatrine, attestent que les « eidos » sont capables d’échanger mutuellement l’information qu’ils contiennent.
]Il en découle donc que les idées conçues par une personne peuvent venir à l’esprit d’autres gens.[/h3
Les eidos sont pareils à de petits êtres vivants qui existent au niveau leptonique de la matière. On dirait qu’ils sont nos enfants et qu’ils communiquent entre eux au moyen de signaux extra-faibles.
Durant sa vie, l’homme produit des millions, voire des milliards d’eidos. Par conséquent, il assume de ses sentiments et pensées une énorme responsabilité vis-à-vis de l’humanité.
[h3]En enfantant les eidos du bien, de l’amour, de la charité, nous assainissons la leptonosphère de l’humanité.
Mais chaque fois que nous nourrissons des pensées criminelles ou des sentiments d’avidité, de lâcheté, de vanité et d’arrogance, nous polluons l’environnement leptonique.
Si les mauvais eidos dépassent la masse critique, l’humanité sera condamnée. Ainsi donc, sa survie dépend dans une large mesure de l’écologie spirituelle. L’hypothèse leptonique donne également une explication scientifique de Dieu. Les croyants, lorsqu’ils se réunissent en prière, créent un eidos collectif de divinité.
Quand des millions de personnes adressent leurs prières à une divinité concrète, son eidos matériel reçoit une grande énergie au niveau leptonique. Mais ce processus implique un effet de rétroaction : non seulement un croyant alimente la divinité, mais celle-ci lui apporte à son tour l’appui dont il a besoin.
Les eidos du Christ, du Bouddha, d’Allah existent réellement, et ces dieux entretiennent des contacts étroits avec leurs fidèles dans une bande bien déterminée de fréquence. Cette interaction ressemble en quelque sorte à une opération bancaire : le client fait un dépôt, et la banque lui apporte son aide au moment difficile. Mais la « banque » microleptonique ne prête pas son concours aux clients étrangers, à ceux qui ne sont pas en résonance avec elle.
Chaque dieu a ses fidèles et il ne veille pas sur les fidèles d’un autre dieu. Comme nous le voyons, les dieux existent pour de bon au niveau leptonique. Quant aux grandes religions mondiales, elles ne décrivent, au fond, que les divers aspects du même être suprême. Cela fait que la plupart des habitants du globe, qu’ils soient chrétiens, musulmans ou bouddhistes, vénèrent le même Dieu, mais dans ses manifestations différentes.
Après la mort du noyau atomique et moléculaire de l’homme, ses hologrammes leptoniques subissent des transformations différentes. Certains d’entre eux, ceux qui sont composés de microleptons lourds, se détruisent complètement. Des recherches montrent que la période de demi-vie des hologrammes relativement lourds est de 7 à 9 jours. A l’expiration d’une quarantaine de jours, ils se désagrègent à 99%.
Par conséquent, le but d’un office des morts est d’amener les vivants à émettre des eidos qui, en alimentant en énergie l’âme du défunt, lui facilitent ses transformations dans le monde leptonique. Grâce aux offices des morts, les hologrammes leptoniques relativement lourds subsistent beaucoup plus longtemps.
Selon certaines estimations, si elles sont bien alimentées par les pensées et les sentiments des vivants, les fractions lourdes de l’âme peuvent exister plusieurs millénaires. Tant qu’on se souvient d’un défunt et qu’on commémore les anniversaires de sa naissance et de sa mort, son âme demeure à peu près la même qu’elle a été de son vivant. Il est parfaitement possible de communiquer avec elle au moyen de procédés bien connus des mystiques.
Quant aux fractions moyennes et légères de l’âme, elles se désagrègent plus lentement. Nous ne pouvons pas le vérifier expérimentalement, mais il y a lieu de croire que leurs périodes de demi-vie et de désintégration sont beaucoup plus longues. Il n’est pas à exclure que les fractions légères existent éternellement : l’âme, comme l’enseignent les grandes religions du monde, est immortelle.
Seule la synthèse de la Science et de la Religion permettra à l’humanité de dévoiler les grands mystères de la vie…
source :Quanthomme
merci » Ankalagon » d’avoir passé du temps sur ce document et surtout de nous avoir transmis ce texte sous format word pour que tous profitent de ses efforts !
Posté par rusty james
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