Messages : 792 Points : 1288 Réputation : 38 Date d'inscription : 17/03/2015 Age : 51 Localisation : Où ça ?
Sujet: Flashback – Le Codex alimentarius… Dim 15 Nov - 5:12
Flashback – Le Codex alimentarius…
Je vous en parle souvent de ce Codex Alimentarius, mais combien prennent la peine de se renseigner sur ce qu’il contient vraiment? La lecture de ce document est particulièrement indigeste, aussi indigeste que ce qu’il contient comme « normes » alimentaires. Que vous soyez carnivores ou végétariens convaincus, vous ne serez aucunement épargnés par les alinéas, les chapitres, les dispositions, les recommandations et au final, à toutes la mise en place de « normes alimentaires internationales » en ce qui concerne votre alimentation. Les lanceurs d’alertes ont depuis longtemps, mis le doigt sur les dangers de ce Codex, mais comme vous le savez tous, il y a toujours, autre chose de plus important à s’occuper, que de lire un rapport que beaucoup sont incapables de déchiffrer. Je vous en ai déjà parler (voir les liens en fin d’article)
D’après le programme pré-établi par la FAO (organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture) et l’OMS (organisation mondiale de la Santé), le Codex Alimentarius est entré en vigueur le 31 décembre 2009 dans toute l’Union européenne.
Créé en 1963, il est mis en œuvre grâce à une commission non-élue désignée par l’ONU. Ce qui se voudrait banal et sécurisant, est en fait un monstrueux outil à briser un peu plus nos libertés. Celle de se nourrir, celle de se soigner ou tout simplement celle de rester en bonne santé.
Historiquement et selon certaines sources, il existe la preuve de liens unissant l’hégémonique empire Rockefeller à des industries pharmaco-chimiques et agro-alimentaires comme BASF ou BAYER qui sont, en fait, les descendants de la firme IG FARBEN, fleuron de l’entreprise nazie.
Voyons ce qu’il en est actuellement :
BASF est le premier fabricant mondial de produits chimiques, grand spécialiste de matières plastiques en tous genres mais sentant le vent tourné, propose maintenant des éoliennes et des panneaux solaires. C’est aussi le deuxième fabricant mondial de vitamines qui vient d’obtenir récemment et pour la première fois, l’autorisation de mise sur le marché d’une patate transgénique “Amflora” introduite dans l’alimentation animale.
BAYER (fournisseur patenté du zyclonB durant la dernière guerre mondiale) est le troisième fabricant d’engrais dans le monde et le premier fabricant de médicaments en Allemagne.
A terme, quand le codex alimentarius entrera en application, sur simples décrets puis durcissement progressif des normes, tous les suppléments alimentaires, toutes les herbes médicinales, toutes les vitamines et minéraux, tous les remèdes homéopathiques, tous les acides aminés et autres remèdes naturels auront disparus des libres rayons pour n’être délivrés que sur prescriptions médicales, assurant un complet monopole aux laboratoires pharmaceutiques. C’est déjà le cas dans des pays comme la Norvège et l’Allemagne où ces produits sont sous-dosés et hors de prix.
Une autre application du codex imposera l’irradiation de la totalité des fruits et légumes ainsi que des viandes et la chloration de la totalité des produits de la mer. Tout ceci au nom de la sécurité alimentaire, on dénature les denrées en leur faisant perdre une grosse partie de leurs qualités nutritives, avec comme conséquence une mauvaise santé générale de la population et une addiction toujours plus fortes aux médicaments. La boucle est bouclée, y’a plus qu’à passer à la caisse !
L’heure est grave et il est grand temps de réagir, les élites savent qu’affronter la vindicte populaire comporte grand nombre de risques. Montrons leur que sur ce point, ils n’ont pas tort !
Prochaine réunion de la commission du Codex : Centre international de Conférence BERCY à Paris, du 12 au 16 avril 2010.
Article disponible sur le le 4ème numéro de La Gazette des Insoumis publié par etat-du-monde-etat-d-etre.net source originale Contre la pensée unique
Par Jean-Simon Gagné, journal Le Soleil
Nous vivons une époque formidable, mais un brin angoissée, au cours de laquelle la question la plus redoutée n’est pas: «Croyez-vous à la vie après la vie?» Encore moins: «Avez-vous assassiné le colonel Moutarde, dans la salle à dîner, avec le gros chandelier en métal mou?»
Non, vraiment. De nos jours, la question qui tue se résume à quelques mots : «Qu’est-ce qu’on peut encore manger ce soir?»
Oubliez la charcuterie, que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de classer parmi les produits «cancérogènes». Oubliez le lait, parfois accusé d’augmenter le risque de cancer de la prostate. Oubliez aussi la friture, avec les acides gras saturés qui bouchent les artères.
Vous voulez finir la journée en ambulance, ou quoi?
Sale temps pour les carnivores, je vous dis. Le boeuf contient souvent des traces d’hormones. Le poulet et le porc reçoivent de petites doses d’antibiotiques, qui favorisent peut-être l’apparition de super bactéries.
Un peu de poisson? Pas si vite, malheureux que vous êtes! Vous devez éviter le thon et l’espadon, qui peuvent contenir du mercure.
À la blague, on raconte que le saumon d’élevage norvégien contient tellement de métaux lourds qu’on se demande comment la pauvre bête réussit à flotter.
***
Je vois des végétariens qui sourient. Ils ont tort.
Les plantes aussi nous rendent paranos.
De quoi donner raison à l’écrivain Whitney Brown lorsqu’il disait : «Je ne suis pas végétarien parce que j’aime les animaux. Je suis végétarien parce que je déteste les plantes.»
Ai-je entendu quelqu’un proposer une salade?
Vous voulez rire? La salade est souvent citée parmi les fruits et les légumes qui contiennent le plus de pesticides, aux côtés des épinards, des poivrons, des fraises et des céleris.
C’est pas ma faute si, pour chaque étude rassurante, vous en trouvez 100 qui font peur. En France, l’étude la plus récente dénonce l’omniprésence des pesticides dans les pommes. Aux États-Unis, des chercheurs s’intéressent au lien possible entre le jus de citron et le cancer de la peau. Et même les produits bio ne sont pas toujours aussi bio que ça.
D’accord. Mais il faut bien grignoter quelque chose. Du brocoli, peut-être, pour faire plaisir à maman?
Hélas, le brocoli lui-même n’est plus au-dessus de tout soupçon. Ne dites rien. Je devine votre indignation. Aussi navrant que d’apercevoir Batman voler les économies d’une pauvre mémé, avant de la jeter dans les orties.
Après cela, on s’ennuie presque des légumes du bon vieux temps, même si on avait tendance à les faire bouillir si longtemps qu’ils pouvaient être mastiqués par des invités ayant oublié leur dentier.
***
Si la tendance se maintient, nous serons bientôt contents qu’une mouche vienne se noyer dans notre potage de légumes. Au milieu des contaminants, cette petite touche santé sera forcément la bienvenue.
J’exagère un peu. Mais cela ne doit pas vous empêcher de dire adieu aux aliments transformés, qui renferment trop de sel, ce qui augmente les risques d’hypertension, de maladie cardiaque et d’une autre calamité que j’oublie, parce que je ne me sens plus très bien, tout à coup.
Ah oui, tant qu’à y être, renoncez aussi aux biscuits sucrés, à la margarine et à la crème glacée, qui contiennent de l’huile de palme. Pour cultiver cette huile maudite, on brûle des forêts, en Indonésie et en Malaisie. On détruit des écosystèmes.
Bande de sans-coeur, vous voulez vraiment avoir la disparition des orangs-outans sur la conscience?
Peu importe. Quand il s’agit de bouffe, tout le monde se transforme instantanément en spécialiste.
Quoi? Tu veux un bonbon? Misérable, que fais-tu des colorants artificiels?
Un verre de vin? C’est plein de sulfites!
Du yogourt grec? Jamais de la vie! La production génère d’importantes quantités de lactosérum, un résidu nocif pour l’environnement.
Et de grâce, ne te ronge pas les ongles, malgré la nervosité. Les ongles sont dangereux. Ils peuvent introduire des milliers de virus dans ta bouche. Tu veux te ruiner la santé, ou quoi?
La recette est pourtant simple, comme le résume la Française Anne Roumanoff. «Si on arrête de manger, […] on est certain de mourir en bonne santé.»
Source La Presse – via Etat-du-Monde-Etat-d’Etre
Commentaire: Cet article en est un d’opinions. Et bien qu’il contienne certains préjugés mainstream concernant l’alimentation, il décrit bien le sentiment général qu’on instille en nous : rien de naturel n’est bon pour la santé. En réalité, c’est le Codex Alimentarius qui va bon train.
Le Codex, un système de référence utilisé dans le monde entier
En d’autres termes, l’influence du Codex Alimentarius s’étend à tous les continents et sa contribution à la protection de la santé publique et aux pratiques équitables du commerce des denrées alimentaires est immense.
Les normes du Codex peuvent être générales ou spécifiques à un produit
Le Codex Alimentarius comporte des milliers de normes, depuis les normes générales, applicables à toutes les denrées alimentaires, jusqu’aux normes spécifiques, concernant un seul aliment ou produit. Les normes générales sont celles qui concernent l’hygiène, l’étiquetage, les résidus de pesticides et de médicaments vétérinaires, les systèmes d’inspection et de certification pour l’importation et l’exportation, les méthodes d’analyse et d’échantillonnage, les additifs alimentaires, les contaminants, ainsi que la nutrition et les aliments diététiques ou de régime. Il existe en outre des normes spécifiques concernant tous les types d’aliments et de produits alimentaires : fruits et légumes frais, surgelés ou transformés, jus de fruits, céréales et légumineuses, mais aussi graisses et huiles, poisson, viande, sucre, cacao et chocolat, lait et produits laitiers.
Lire la présentation sur Eufic.org
Déjà paru sur les ME:
Aux sources du Codex Alimentarius, l’histoire inconnue de la naissance du Trust Mondial de la Pharmaco-chimie…
Comprendre le Codex Alimentarius
Flashback – Le Codex alimentarius…
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